vendredi 11 mars 2016

L'orthographe aujourd'hui

        Que vous soyez un particulier ou une entreprise, faire une faute de style, de goût ou bien d'orthographe n'est jamais bon pour votre image.  

    → Plumomatic vous propose un service sur mesure et à un tarif adapté pour résoudre rapidement ces problèmes de langue française.















« Faire des fautes d’ORTHOGRAPHE, C’EST COMME METTRE DES CHAUSSURES DE VILLE AVEC UN SURVÊTEMENT. »
(anonyme)

Principe

> Plumomatic vous propose des services taillés sur mesure qui correspondent à tous vos besoins d'écriture, qu'il s'agisse :

          
de simplement retoucher des erreurs d'orthographe et des fautes de langue, 

ou de vous conseiller dans le style et la rédaction de vos textes, 


ou encore de vous assister dans cette rédaction en vous accompagnant individuellement tout au long de la confection de votre texte. 




Plumomatic est votre styliste de rédaction personnel



Les 3 formules de Plumomatic :

vous avez besoin de faire retoucher très rapidement toutes les fautes d'orthographe d'un texte ou d'un document important : plumo express est la formule qui vous convient ! 
longueur du texte à soumettre : entre 1 et 5 pages A4 (ou l'équivalent en pages de site internet)
prix : 5 euros ; retour sous 24h par email


vous avez besoin de conseils stylistiques et rédactionnels approfondis sur le texte de votre choix : plumo coach est la formule qui vous convient ! 
prix : 50 euros ; durée : 1 semaine d'échanges illimités par emails


vous avez l'idée mais il vous manque la plume : plumo pro est la formule qui vous convient ! 
prix : louez les services d'un écrivain-styliste de l'ombre qui s'aura s'adapter à vos souhaits après discussions (par emails et/ou téléphone)









Qui sommes-nous ?

Plumomatic est un rédacteur professionnel qui met ses compétences d'écriture à votre service. C'est un amoureux du style, fin connaisseur des tendances qui, tel un couturier passionné de mode, retouche ou même crée selon vos goûts, qu'il s'agisse de textes professionnels ou de fictions. 

Mentionner son agrégation de lettres ou son doctorat de linguistique française rassurera (peut-être) sur le sérieux de sa formation.

Il a travaillé comme ghost writer pour les plus grandes maisons, des cellules de communication, des employés ou des chefs de service soucieux de soigner leurs documents - et par conséquent leur image. Il intervient également dans plusieurs ateliers d'écriture, à l'université ou pour des entreprises.

Ses prestations sont efficaces, claires et très rapides. Un peu comme celles d'un styliste discret mais ambitieux. 

Surtout, c'est son intérêt permanent pour tout ce qui est en train de s'écrire, aujourd'hui, qui en fait LE correcteur dont vous avez besoin pour rendre impeccable ce texte que vous êtes justement sur le point de confectionner !



mardi 29 avril 2014

Les clients de plumomatic

- des entreprises qui veulent envoyer à leurs clients des textes impeccables
- des conseils d'administration qui souhaitent éditer des comptes-rendus de séance sans bavure
- des étudiants qui doivent rendre des mémoires ou des devoirs contenant zéro faute d'orthographe
- des doctorants qui n'ont pas toujours le temps de relire leur thèse pour éliminer les dernières fautes
- des particuliers désireux de rédiger un texte personnel et en quête de conseils stylistiques
- des écrivains amateurs qui veulent avoir un avis expert sur leur manuscrit
- etc.






« Chaque début d’écriture est un retour à la case départ. »
(Quentin Tarantino)



lundi 28 avril 2014

De l'importance de l'orthographe




    L'orthographe est aujourd'hui un enjeu stratégique qui reflète, en surface et au premier coup d’œil, la qualité du document produit. Un document professionnel ne peut se permettre de contenir la moindre erreur orthographique.

    Les candidats au recrutement (dont le premier acte consiste généralement à produire un CV et une lettre de motivation) sont également observés à la loupe quant à la tenue de leurs documents :  l'impact très négatif d'une orthographe déficiente sur un lecteur qui n'est pas toujours bienveillant n'est plus à démontrer ! Il en va de même pour les courriels, rapports, notes, etc., c'est-à-dire pour tous ces écrits que l'on produit chaque jour et qui sont jugés par nos collaborateurs, nos supérieurs, nos clients, etc.
    La question n'est pas de savoir si "c'est mal" ou pas de faire des fautes d'orthographe : le fait est que, même si en français tout le monde fait des fautes d'orthographe (les as de la dictée ne se rencontrent pas à tous les coins de rue : qui oserait prétendre qu'il n'a jamais fait une seule faute d'orthographe de sa vie ?), le monde professionnel a tendance à se saisir de l'orthographe et de la langue française comme d'un critère discriminant pour trier les candidats, à compétences égales.
    A ce propos, la réforme de l'orthographe (2016) ne doit pas être considérée comme une simplification dénuée de sens de la langue française : c'est une aide aux personnes souffrant justement de problèmes orthographiques, une preuve qu'elles n'ont pas à être discriminées à cause de leur soucis de langue. Mais sur son CV par exemple, continuer d'écrire les mots dans leur orthographe classique pourra faire la différence avec d'autres candidats, et c'est pourquoi l'aide d'un correcteur professionnel 
peut s'avérer judicieuse...









Handicap orthographique

      Combien de recruteurs (ou de personnes ayant un poste analogue) n’ont-ils pas déclaré : « et en plus son CV est bourré de fautes d’orthographe ! » pour en arriver à justifier in fine les raisons qui les ont amenés à repousser tel ou tel candidat ? La chose fonctionne un peu comme une tache que l’on a fait sur sa belle chemise blanche : il y a ceux qui se présentent à leur futur employeur sans tache, et ceux qui arrivent le plastron décoré : bien sûr, certains recruteurs ou décideurs ne font pas attention à ce genre de détails, mais l’on sait aussi qu’en société être propre produit en général un meilleur effet qu’être sale… L’orthographe est ici utilisée de manière à justifier, à corroborer un arbitrage professionnel.

      L’idée d’une orthographe discriminante pourrait également être abordée sous l’angle du prétexte : finir la lecture d’un courriel professionnel ou d'un rapport par un « et en plus c’est bourré de fautes d’orthographe… » est généralement le point d’orgue d’une série de critiques sur l’auteur de l’email ou sur le rapport... La faute d’orthographe a ici la fonction de « cerise (amère) sur le gâteau » : elle vient étayer un jugement antérieur, comme une justification suprême qui va permettre de critiquer l'auteur du document...

      On peut d’ailleurs observer le fonctionnement inverse : le rapport est plein de bonnes choses, il plaît au lecteur, et en plus « c’est bien écrit, il n’y a pas presque pas de fautes dedans ! ». L’orthographe sert ici à rassurer celui qui doit juger, qui est amené à évaluer. L’orthographe est bien un outil d’évaluation intégré au monde du travail comme à celui de la formation.

      Notez, pour achever un tableau peut-être un peu noir de la situation, que la société actuelle a tendance sur ce sujet à multiplier les jugements de valeur parfaitement gratuits mais sans appel, du type : « Ah, ces jeunes, ils ne savent plus écrire !... Moi de mon temps on ne faisait pas autant de fautes d’orthographe, quand même !... ». Même s’il serait facile de rétorquer qu’il y a 40 ou 50 ans on ne disposait pas d’indicateurs solides et fiables pour mesurer le niveau orthographique de la population française, même si l’on cherchait à dire que ce jugement orthographique cache peut-être en réalité un jugement globalement négatif sur les « jeunes », le constat est quand même là, dans toute sa violence : faire des fautes d’orthographe est, d’un point de vue sociétal, considéré comme un handicap lourd.